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(en contruction...)
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'''En construction...'''
==Qui suis-je ?==


Ahoy !
Mon nom est Frédéric Minne et je suis physicien et informaticien de formation. Je travaille comme informaticien dans une Université belge où j'administre et développe des applications en ligne. Je participe au développement de la plateforme d'apprentissage en ligne Claroline.


Originaire de Fleurus près de Charleroi, je suis arrivé à Louvain-la-Neuve en 1997 pour continuer mes études, et j'y habite depuis 1999. J'ai étudié la Physique puis l'informatique à l'UCL. Je travaille aujourd'hui comme informaticien à l'UCL et je participe au développement de la plateforme  libre de eLearning Claroline.
En ce qui concerne mes loisirs, je suis un grand amateur de musique (en particulier de rock progressif) et je suis guitariste à mes heures perdues. Je suis également un grand amateur de la culture libre et contributeur de la Wikipedia depuis plusieurs années.


Je trouve la politique actuelle en matière de propriété intellectuelle et de brevet, ainsi que les mesures pour lutter contre la contre-façon et le piratage très inquiétante pour le respect des liberté individuelle (en particulier la liberté d'expression) et présage une société de la privatisation dans laquelle ne pourront plus être consommés que les produits des grandes multi-nationales. Le climat sécuritaire menace également fortement la vie privée et, sous prétexte de garantir la sécurité des citoyens, met en place les mécanismes favorisant l'apparition d'une société totalitaire. Tout cela tend à laisser le citoyen sur le côté, réduit a l'état de consommateur. Les prévisions climatiques sont plus qu'alarmantes tandis que les gouvernements semblent ne défendre que leur politique économique. Les lois sont complexes, incompréhensibles pour le commun des mortelles et semblent contradictoires. On ne sait plus trop si nos représentants défendent nos intérêts ou ne sont que des pantins aux mains des puissances économiques qui dirigent la planète.
Dans mes projets futurs, j'envisage le développement d'outils informatiques permettant


Je pense qu'il est plus qu'urgent de rendre le pouvoir aux citoyens (démocratie participative voire directe), qu'il faut mettre en place des mécanismes qui garantissent le respect des libertés individuelles face aux multi-nationales, et favoriser une société de la collaboration au lieu d'une société de la concurrence.
===Pourquoi je suis un Pirate===


Je pense qu'il faut simplifier les lois et revenir à plus de pragmatisme dans les prises de décisions et imposer la transparence des dossiers et des décisions. Dans tout les cas, il faut rechercher un consensus qui conviennent à tous, afin d'éviter une dictature de la majorité. Je pense qu'il faut favoriser l'auto-gestion, à la manière de la wikipedia ou du monde du logiciel libre.
====Droit d'auteur et brevets====
 
Tout d'abord, étant scientifique de formation, j'ai toujours considérer que les idées et l'information en générale devait être partagée sans condition avec toute l'humanité. C'est le seul moyen de progresser et d'innover. Il va donc de soi que je suis opposé aux brevets. Les brevets aujourd'hui ne protègent plus l'innovation. Ils ne sont que des armes dans une guerre que se livrent les entreprises pour le monopole et la suprématie. Et lorsqu'on en vient à breveter le vivant et à proposer des lois qui obligent à la consommation des produits de ces entreprises (exclusifs car brevetés, bien entendu) [http://www.alterinfo.net/Etats-Unis-Monsanto-propose-une-loi-pour-interdire-les-potagers-des-particuliers_a31215.html au lieu de ceux que l'on peut produire soi-même], l'objectif est clair : enchaîner le consommateur.
 
Il en va de même dans le domaine de la culture où le système économique actuel avec ces quelques maisons de production qui règnent en véritables dictateurs mène à une standardisation et une impossibilité de créer. Ces entités forcent les états à créer des lois qui limite les libertés individuelles dans le seul but de s'enrichir encore davantage. Cela est intolérable ! CEs entreprises tentent même de limiter l'usage des oeuvres qu'elles produisent à travers des DRM et licences d'utilisation douteuses. Savez qu'aujourd'hui, [http://owni.fr/2012/08/30/et-nos-bacs-seront-emplis-de-mp3-usages/ vous n'êtes pas propriétaire de la musique que vous avez acheté sur iTunes] ? Tout ce que vous possédé, c'est une licence qui vous autorise à écouter la musique que vous avez téléchargé. Impossible donc de la revendre ou de la céder
 
Je pense qu'il est impossible de créer à partir du néant. Toutes les inventeurs du passé se sont appuyés sur les découvertes de leur prédécesseurs ou se sont inspirés de la nature pour révolutionner le monde ([http://www.everythingisaremix.info/references/ Everything is a Remix]).
 
Aujourd'hui, des alternatives existent. Les licences libres et les creative commons mettent en place la notion de copyleft et favorisent la distribution et la modification des ouvres. De plus en plus d'artistes se s'auto-produisent et se distribuent via Internet sans DRM (bandcamp, jamendo). Certains artistes encourage les remix de leurs oeuvres, comme Gotye qui leur a rendu hommage en réalisant lui-même [https://www.youtube.com/watch?v=opg4VGvyi3M un remix des remix d'une de ses chansons].
 
====La "Démocratie" "représentatives"====
 
La démocratie représentative est pour moi totalement dépassée, pire, elle est une mascarade.
 
Totalement dépassée, parce que si, à l'époque où elle a été mise en place, on pouvait prendre l'excuse que les moyens disponibles ne permettait pas une véritable démocratie dans laquelle chacun pourrait s'exprimer, aujourd'hui, les nouvelles technologies rendent cela parfaitement possible ! Il suffit pour cela d'observer la Wikipedia et les projets de logiciels Open Source.
 
La démocratie représentative est une mascarade parce que, simplement, nos représentant ne sont pas représentatifs de leurs électeurs. Tout d'abord, nombre d'entre eux viennent d'une classe dirigeante plus élevée que le citoyen moyen et va donc avoir une tendance naturelle à défendre cette place dominante et à faire passer (souvent inconsciemment) ses intérêts avant ceux de l'électeur. De plus, même si on ne vient pas à l'origine de cette classe dirigeante, le pouvoir corrompt et on aura tendance à protéger se nouvelle condition de la même manière que ses collègues politiciens.
 
Un autre problème est que nous ne votons pas pour des individus mais pour des partis. Il est souvent vexant de devoir voter pour toutes les idées d'un parti, alors qu'on est peut-être beaucoup plus en accord avec la politique d'un autre dans certains domaines. Un exemple, la plupart des partis libéraux ont souvent deux tendances : ceux qui sont attachés à la défense du système économique quitte à limiter les droits du consommateurs, et ceux pour qui il faut défendre à tout pris les libertés individuelles. Il est impossible de voter pour les seconds sans aussi élire les premier ! Pour résoudre ce problème, soit il faut multiplier les partis, soit il faut les supprimer.
 
On peut aussi se poser la question de savoir si la démocratie dans laquelle nous vivons en est vraiment une. Qui dirige effectivement le monde ? Quel est le pouvoir réel de nos représentant quand on voit les pressions des grandes multinationales qui font l'impossible pour imposer des lois qui les favorisent au détriment des consommateurs. Que peut faire même un président de la république (pour reprendre un exemple récent) contre un grand groupe métallurgique dont les bénéfices annuels sont supérieurs au PIB de bien des pays quand celui-ci décide de délocaliser sa production ? La réponse est simple : absolument rien ! Et ce malgré toute ses promesses électorales. Parce qu'aujourd'hui, c'est l'économie qui dirige le monde. Des pays comme la Grèce se retrouve alors contraints à des politiques d'austérité drastiques dans le seul but de sauver le système qui est à l'origine de leur problèmes initiaux.
 
Peut-on changer cela ? Oui, l'Islande a ouvert la voie en refusant le dicta des banques et de la commission européenne. Ils sont même allés plus loin en donnant au peuple la possibilité de récrire la constitution du pays.
 
'''... à suivre'''
 
====La société de la surveillance====
 
Aujourd'hui, que se soit sur Internet et dans la rue, nous sommes tous présumés coupables.
 
'''...à suivre'''
 
====Des lois trop complexes====
 
'''...à suivre'''
 
===Pourquoi je me présente aux élections===
 
Pour apprendre et comprendre comment fonctionne le système électoral belge de l'intérieur. C'est pour cela que je me suis également proposé comme témoin de parti.
 
Pour confronter les idées Pirates à celle des autres partis afin de tester si elles peuvent tenir la route dans les débats face à des politiciens rôdés à ce type d'exercice.

Revision as of 09:01, 12 October 2012

Qui suis-je ?

Mon nom est Frédéric Minne et je suis physicien et informaticien de formation. Je travaille comme informaticien dans une Université belge où j'administre et développe des applications en ligne. Je participe au développement de la plateforme d'apprentissage en ligne Claroline.

En ce qui concerne mes loisirs, je suis un grand amateur de musique (en particulier de rock progressif) et je suis guitariste à mes heures perdues. Je suis également un grand amateur de la culture libre et contributeur de la Wikipedia depuis plusieurs années.

Dans mes projets futurs, j'envisage le développement d'outils informatiques permettant

Pourquoi je suis un Pirate

Droit d'auteur et brevets

Tout d'abord, étant scientifique de formation, j'ai toujours considérer que les idées et l'information en générale devait être partagée sans condition avec toute l'humanité. C'est le seul moyen de progresser et d'innover. Il va donc de soi que je suis opposé aux brevets. Les brevets aujourd'hui ne protègent plus l'innovation. Ils ne sont que des armes dans une guerre que se livrent les entreprises pour le monopole et la suprématie. Et lorsqu'on en vient à breveter le vivant et à proposer des lois qui obligent à la consommation des produits de ces entreprises (exclusifs car brevetés, bien entendu) au lieu de ceux que l'on peut produire soi-même, l'objectif est clair : enchaîner le consommateur.

Il en va de même dans le domaine de la culture où le système économique actuel avec ces quelques maisons de production qui règnent en véritables dictateurs mène à une standardisation et une impossibilité de créer. Ces entités forcent les états à créer des lois qui limite les libertés individuelles dans le seul but de s'enrichir encore davantage. Cela est intolérable ! CEs entreprises tentent même de limiter l'usage des oeuvres qu'elles produisent à travers des DRM et licences d'utilisation douteuses. Savez qu'aujourd'hui, vous n'êtes pas propriétaire de la musique que vous avez acheté sur iTunes ? Tout ce que vous possédé, c'est une licence qui vous autorise à écouter la musique que vous avez téléchargé. Impossible donc de la revendre ou de la céder

Je pense qu'il est impossible de créer à partir du néant. Toutes les inventeurs du passé se sont appuyés sur les découvertes de leur prédécesseurs ou se sont inspirés de la nature pour révolutionner le monde (Everything is a Remix).

Aujourd'hui, des alternatives existent. Les licences libres et les creative commons mettent en place la notion de copyleft et favorisent la distribution et la modification des ouvres. De plus en plus d'artistes se s'auto-produisent et se distribuent via Internet sans DRM (bandcamp, jamendo). Certains artistes encourage les remix de leurs oeuvres, comme Gotye qui leur a rendu hommage en réalisant lui-même un remix des remix d'une de ses chansons.

La "Démocratie" "représentatives"

La démocratie représentative est pour moi totalement dépassée, pire, elle est une mascarade.

Totalement dépassée, parce que si, à l'époque où elle a été mise en place, on pouvait prendre l'excuse que les moyens disponibles ne permettait pas une véritable démocratie dans laquelle chacun pourrait s'exprimer, aujourd'hui, les nouvelles technologies rendent cela parfaitement possible ! Il suffit pour cela d'observer la Wikipedia et les projets de logiciels Open Source.

La démocratie représentative est une mascarade parce que, simplement, nos représentant ne sont pas représentatifs de leurs électeurs. Tout d'abord, nombre d'entre eux viennent d'une classe dirigeante plus élevée que le citoyen moyen et va donc avoir une tendance naturelle à défendre cette place dominante et à faire passer (souvent inconsciemment) ses intérêts avant ceux de l'électeur. De plus, même si on ne vient pas à l'origine de cette classe dirigeante, le pouvoir corrompt et on aura tendance à protéger se nouvelle condition de la même manière que ses collègues politiciens.

Un autre problème est que nous ne votons pas pour des individus mais pour des partis. Il est souvent vexant de devoir voter pour toutes les idées d'un parti, alors qu'on est peut-être beaucoup plus en accord avec la politique d'un autre dans certains domaines. Un exemple, la plupart des partis libéraux ont souvent deux tendances : ceux qui sont attachés à la défense du système économique quitte à limiter les droits du consommateurs, et ceux pour qui il faut défendre à tout pris les libertés individuelles. Il est impossible de voter pour les seconds sans aussi élire les premier ! Pour résoudre ce problème, soit il faut multiplier les partis, soit il faut les supprimer.

On peut aussi se poser la question de savoir si la démocratie dans laquelle nous vivons en est vraiment une. Qui dirige effectivement le monde ? Quel est le pouvoir réel de nos représentant quand on voit les pressions des grandes multinationales qui font l'impossible pour imposer des lois qui les favorisent au détriment des consommateurs. Que peut faire même un président de la république (pour reprendre un exemple récent) contre un grand groupe métallurgique dont les bénéfices annuels sont supérieurs au PIB de bien des pays quand celui-ci décide de délocaliser sa production ? La réponse est simple : absolument rien ! Et ce malgré toute ses promesses électorales. Parce qu'aujourd'hui, c'est l'économie qui dirige le monde. Des pays comme la Grèce se retrouve alors contraints à des politiques d'austérité drastiques dans le seul but de sauver le système qui est à l'origine de leur problèmes initiaux.

Peut-on changer cela ? Oui, l'Islande a ouvert la voie en refusant le dicta des banques et de la commission européenne. Ils sont même allés plus loin en donnant au peuple la possibilité de récrire la constitution du pays.

... à suivre

La société de la surveillance

Aujourd'hui, que se soit sur Internet et dans la rue, nous sommes tous présumés coupables.

...à suivre

Des lois trop complexes

...à suivre

Pourquoi je me présente aux élections

Pour apprendre et comprendre comment fonctionne le système électoral belge de l'intérieur. C'est pour cela que je me suis également proposé comme témoin de parti.

Pour confronter les idées Pirates à celle des autres partis afin de tester si elles peuvent tenir la route dans les débats face à des politiciens rôdés à ce type d'exercice.