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Je rêve d'avoir le temps de lancer des projets autour du eLearning, des réseaux sociaux associatifs et des projets DIY en général.
Je rêve d'avoir le temps de lancer des projets autour du eLearning, des réseaux sociaux associatifs et des projets DIY en général.


==Les idées qui m'intéressent de discuter au sein du parti pirate==
==Les idées que je désire discuter au sein du parti pirate==


===Libre circulation de l'information et des connaissances===
===Libre circulation de l'information et des connaissances===

Revision as of 14:24, 3 April 2014

Qui suis-je ?

Mon nom est Frédéric Minne et je suis physicien et informaticien de formation. Je travaille comme informaticien dans une grande institution d'enseignement supérieur en Belgique où j'administre et développe des plateformes et des outils d'enseignement en ligne. Je participe au développement de la plateforme libre d'enseignement en ligne Claroline depuis 2004.

En ce qui concerne mes loisirs, je suis un grand amateur de musique (en particulier de rock progressif, hardcore, post-rock, post-metal, sludge...) et je suis guitariste à mes heures perdues. Je suis également un grand amateur de la culture libre et contributeur de la Wikipedia depuis plusieurs années.

Je suis membre du parti pirate depuis avril ou mai 2012. Je me suis présenté aux élections communales à Ottignie-Louvain-la-Neuve et provinciales au Brabant-Wallon en 2012 pour apprendre et comprendre comment fonctionne le système électoral belge de l'intérieur. Il s'agissait également de confronter les idées pirates avec celles des autres partis et des citoyens. A cette occasion, je me suis également proposé comme témoin de parti à Ottignies-Louvain-la-Neuve afin d'assister au fonctionnement d'un bureau de vote et me rendre compte de la complexité du système actuel.

Compétences et trucs

Choses que je sais faire
Domaine Compétences
Développement de logiciel Analyse et architecture, orienté-objet, open-source, Agile/SCRUM, pragmatic programming,
Développement web PHP, MySQL, Javascript, HTML, CSS, Node.js, Silex, Twig, Composer...
Outils de développement Subversion, git, netbeans, vim
Langages de programmation PHP, Javascript, CoffeeScript, Python (mais je suis rouillé), C (idem), Ruby (idem)
Gestion de serveur web Debian, CentOS (si je suis forcé...), Apache2, SuPHP
CMS et autres Claroline, Dotclear, CMSMadeSimple, Drupal (beginner)
Arts Guitare électrique, synthé analogique, photographie numérique/argentique, dessin (mais je suis pas très doué), bases en enregistrement audio
Connaissances Astronomie, astrophysique, mécanique quantique, elearning, serious games
Loisirs Maîtrise de jeux de rôle papier, livre dont vous êtes le héros, écrire des livres dont vous êtes le héros, philosophie et science-fiction...
Langues Français (langue maternelle), Anglais (Reading VG, writing G, listening G, speaking not that good)
Traductions Bon : Anglais -> Français, Français -> Anglais; Moyen : Néerlandais -> Français
Divers Discuter philosophie, refaire le monde...

Projets, squad et crews

Je rêve d'avoir le temps de lancer des projets autour du eLearning, des réseaux sociaux associatifs et des projets DIY en général.

Les idées que je désire discuter au sein du parti pirate

Libre circulation de l'information et des connaissances

Étant scientifique de formation, j'ai toujours considérer que les idées et l'information en générale devait être partagée sans condition avec toute l'humanité. C'est le seul moyen de progresser et d'innover. Il va donc de soi que je suis opposé aux brevets.

Les brevets aujourd'hui ne protègent plus l'innovation. Ils ne sont que des armes dans une guerre que se livrent les entreprises pour le monopole et la suprématie. Et lorsqu'on en vient à breveter le vivant et à proposer des lois qui obligent à la consommation des produits de ces entreprises (exclusifs car brevetés, bien entendu) au lieu de ceux que l'on peut produire soi-même, l'objectif est clair : enchaîner le consommateur et donner un monopole à ces entreprises.

Il en va de même dans le domaine de la culture où le système économique actuel avec ces quelques grands acteurs privés qui règnent en dictateurs mène à une standardisation et une impossibilité de créer. Ces entités forcent les états à créer des lois qui limite les libertés individuelles dans le seul but de s'enrichir encore davantage et tentent de limiter l'usage des oeuvres qu'elles produisent à travers des DRM et licences d'utilisation douteuses. Savez-vous qu'aujourd'hui, vous n'êtes pas propriétaire de la musique que vous avez acheté sur iTunes ? Tout ce que vous possédé, c'est une licence qui vous autorise à écouter la musique que vous avez téléchargé. Impossible donc de la revendre ou de la céder.

Je pense qu'il est impossible de créer à partir du néant. Toutes les inventeurs du passé se sont appuyés sur les découvertes de leur prédécesseurs ou se sont inspirés de la nature pour révolutionner le monde (Everything is a Remix).

Aujourd'hui, des alternatives existent. Les licences libres et les creative commons mettent en place la notion de copyleft et favorisent la distribution et la modification des oeuvres. De plus en plus d'artistes s'auto-produisent et se distribuent via Internet sans DRM (bandcamp, jamendo). Certains artistes encourage les remix de leurs oeuvres. L'Open Data permet de donner accès aux données publiques à tous afin de pouvoir les consulter et les exploiter. L'open Access donne accès aux connaissances scientifique gratuitement à chacun.

Pour une Démocratie délibérative

Contrairement à la croyance répandue, le système électorale actuel n'a rien à voir avec la démocratie. La démocratie est le pouvoir du peuple par le peuple. Il s'agit d'un système dans lequel chaque citoyen peut exercer le pouvoir. La démocratie représentative élective n'a jamais été mise en place pour assurer le pouvoir du peuple, mais bien pour garantir que ce pouvoir reste aux mains d'une élite seule jugée apte à diriger. Le combat pour la démocratie s'est donc focalisé sur l'extension du droit de vote à de plus en plus de citoyens, mais sans vraiment remettre en cause l'aristocratie de la classe politique.

Il est de plus en plus clair que la démocratie représentative élective basée sur des partis ne répond plus à sa mission et a perdu aux yeux du citoyen sa légitimité et son efficacité. Le citoyen se méfie ou se désintéresse du politique et le politique se méfient et se désintéresse du citoyen. Les élections semblent ne rien changer à la situation puisque se sont grosso-modo toujours les mêmes qui gouvernent. Il est très difficile pour un citoyen de se lancer en politique, et même s'il y arrive, il se trouve lui-même coincé dans le système en place.

La pression des lobby est telle que la marche de manoeuvre de nos représentants est extrèmement limitées et que, souvent, les actions vraiment efficaces sont impossible à mettre en oeuvre.

Il existe pourtant d'autres solutions pour mettre en place un système plus démocratique qui permettrait à la fois de redonner légitimité et efficacité au système politique, mais limiterait aussi l'influence des lobby : démocratie participative, tirage au sort des représentant, mécanisme de poids et de contrepoids pour éviter une trop grande concentration des pouvoirs, démocratie liquide... De nombreuses expériences de ce type ont été mises en pratique à travers l'histoire : démocratie athénienne, gouvernement des cité-états à la renaissance, crowd sourcing de la constitution en Islande...

Les nouvelles technologies et, en particulier, Internet pourraient contribuer à cela via des outils tels que la Liquid Democracy, les outils en ligne de gestion de lois et d'amendement, les outils pour signaler les problèmes (FixMyStreet...)... mais elles ne constituent pas non plus une baguette magique qui règlera tous les problèmes de l'humanité.

Faut-il aller aux élections ? Faut'il voter ?

La société de la surveillance

Aujourd'hui, que se soit sur Internet et dans la rue, nous sommes tous présumés coupables. INDECT, ACTA, CCTV, filtrage DNS, espionnage de la NSA, analyse autamotique des données récoltées... sans que nous en soyons nécessairement conscient, les états mettent en place des outils qui pourraient mener à une société sécuritaire ou l'arbitraire ferait loi.

Entre surveillance et médias de masse, le monde d'aujourd'hui ressemble de plus en plus à une dystopie telle que 1984 ou Little Brother.

Le revenu de base

Le mythe de la création d'emploi

Créer de l'emploi, toujours de l'emploi, tel semble être le credo de nos politiques, surtout en période (pré)électorale. MAis vouloir fournir un emploi à tous, cela est-il possible ? Cela a-t-il même un sens ? Le mythe de la liberté par le travail n'a-t-il pas vécu ?

Des lois trop complexes

...à suivre