User:Valerie: Difference between revisions
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Pour ces [10 raisons]. Pour le fait que c’est un mouvement neuf, frais, décentralisé, auto-organisé, fondamentalement collaboratif, qui permet la plus grande liberté à chacun de ses membres et de ses groupes (voir le « put... de manuel » des pirates belges, ou notre non-règlement BW). Pour le fait que c’est un mouvement qui rassemble non pas des personnes qui « veulent faire de la politique » mais qui ressentent une injustice et se sentent la responsabilité de faire quelque chose. Comme les mouvements des femmes ou les mouvements écologistes, c’est un mouvement de rébellion, de réappropriation de nos vies, de notre pouvoir de décision et de définition de nos propres critères (et donc par contre le monopole de la rentabilité économique et de l’efficacité). Etre pirate, c’est vouloir reprendre son pouvoir d’agir (« empowerment ») et voir chaque être humain comme « vitalement » relié aux autres : « je suis ce que je suis car nous sommes ce que nous sommes ». | Pour ces [10 raisons]. Pour le fait que c’est un mouvement neuf, frais, décentralisé, auto-organisé, fondamentalement collaboratif, qui permet la plus grande liberté à chacun de ses membres et de ses groupes (voir le [http://www.pirateparty.be/wiki/index.php/F****_%28suggested%29_manual_FR « put... de manuel »] des pirates belges, ou notre [http://www.pirateparty.be/wiki/index.php/Crew_BW/non_reglement non-règlement BW]). Pour le fait que c’est un mouvement qui rassemble non pas des personnes qui « veulent faire de la politique » mais qui [http://www.youtube.com/watch?v=eG-roYTcGLk ressentent une injustice et se sentent la responsabilité de faire quelque chose]. Comme les mouvements des femmes ou les mouvements écologistes, c’est un mouvement de rébellion, de réappropriation de nos vies, de notre pouvoir de décision et de définition de nos propres critères (et donc par contre le monopole de la rentabilité économique et de l’efficacité). Etre pirate, c’est vouloir reprendre son pouvoir d’agir (« empowerment ») et voir chaque être humain comme « vitalement » relié aux autres : « je suis ce que je suis car nous sommes ce que nous sommes ». | ||
== Candidate ? == | == Candidate ? == |
Revision as of 08:20, 11 October 2012
Je suis, comme tout être humain, en construction perpétuelle... tout comme cette page ;-).
Premier coup de pelle, avec quelques mots clef : Empowerment (diantre, il n'y a pas de traduction en français... pouvoirisation ? puissance d'agir ?), bottom-up (de la base vers le sommet, et pas l'inverse !), décroissance, collaboration, anti-déterminisme, décélération... bref un autre monde est possible. A commencer par soi... A l'abordage !
Pirate ?
Pour ces [10 raisons]. Pour le fait que c’est un mouvement neuf, frais, décentralisé, auto-organisé, fondamentalement collaboratif, qui permet la plus grande liberté à chacun de ses membres et de ses groupes (voir le « put... de manuel » des pirates belges, ou notre non-règlement BW). Pour le fait que c’est un mouvement qui rassemble non pas des personnes qui « veulent faire de la politique » mais qui ressentent une injustice et se sentent la responsabilité de faire quelque chose. Comme les mouvements des femmes ou les mouvements écologistes, c’est un mouvement de rébellion, de réappropriation de nos vies, de notre pouvoir de décision et de définition de nos propres critères (et donc par contre le monopole de la rentabilité économique et de l’efficacité). Etre pirate, c’est vouloir reprendre son pouvoir d’agir (« empowerment ») et voir chaque être humain comme « vitalement » relié aux autres : « je suis ce que je suis car nous sommes ce que nous sommes ».
Candidate ?
J’ai réalisé que « faire de la politique » était devenu un gros mot pour moi. Notre système politique aujourd’hui ne serait qu’une scène de spectacle pour laquelle des acteurs se battent et ne sont satisfaits qu’en haut de l’affiche et sous les feux de la rampe. Le rôle à jouer importerait peu. Moi, sur scène je me sens plus à l’aise dans le rôle du souffleur que dans celui de l’acteur. Question de personnalité, et de respect de mes limites. Mais je me laissée convaincre que lorsqu’on prône la participation citoyenne dans la vie politique, il faut commencer par soi. Et il ne faut pas attendre que les règles changent pour se lancer. Il faut d’abord les jouer telles qu’elles sont (du moins au minimum syndical...). Je ne suis pas extravertie, je n’ai pas envie d’être connue, je n’aime pas prendre la parole en public, et encore moins aborder les gens dans la rue, ou juste montrer ma tête, je n’ai pas d’autre ambition que d’arriver un jour à être en paix avec moi-même. Je suis comme beaucoup de gens. Et ça ne devrait pas nous empêcher de participer à la vie politique. Car la politique, c’est la vie de cité, c’est décider comment on veut vivre ensemble. C’est au cœur même de nos vies. Et je pense que la façon dont on fait de la politique aujourd’hui doit, et peut, encore changer. Donc, je suis candidate aux élections communales et provinciales cette année.
Mais encore ?
C'est bien maigre tout ça ? Il suffit de me contacter par email, à valerie at ppbw point be.